Tayuya

Nom : Inconnu

Prénom : Tayuya

Village Choisi : Akatsuki

Histoire: (10 Lignes Minimum ) : Tayuya est née en tuant sa propre mère. Jusque à ses cinq ans elle a vécue avec un homme du nom de Hitsuji Kaito dans le village de Konoha, du pays du feu. C'est a cet âge qu'elle apprend qu'il n'est qu'en fait son père adoptif, en effet son père biologique aurait abandonné sa mère quelque jour après que celle-ci soit tombée enceinte. Détruite, c'est à l'âge d'à peine six ans qu'elle décide de s'enfuir, seule à travers le pays. Elle hère ainsi pendant plus de cinq ans, se nourrissant de bêtes sauvages, et tuant pour se protéger. Elle apprit pendant cette période, qu'il ne fallait jamais donner sa confiance à qui que se soit, et c'est ainsi qu'elle se referma totalement sur elle même et s'éloigna de toute civilisation. A l'âge de 13 ans, et uniquement car elle ne pouvait faire autrement, Tayuya transgressa sa propre règle, et s'aventura dans un petit village. Celui-ci se nommait Oto. En mendiant quelques jours, la jeune fille parvint à récolter assez d'argent pour s'acheter une arme. L'arme dont elle rêvait. Elle l'avait aperçu dés son arrivée au village, dans une petite vitrine sur le bord de l'unique allée. Une flute. Des lors, elle fut son objet le plus précieux et jamais elle ne la quitta. Un jour, alors qu'à son habitude, Tayuya vagabondait dans le petit village, un homme d'une vingtaine d'années, portant des cheveux gris, de petites lunettes rondes et se faisant appeler Kabuto, lui adressa nonchalamment la parole. Et avec de grands mot, qui raisonnent toujours et encore dans l'esprit de la fille, tels que « pouvoir », « puissance » ou encore « immortalité », l'invita à rencontrer son maitre, le soi disant très connu et respecté : Orochimaru. Tayuya ne se souvient plus très bien de ce qu'il s'est passé lors de cette fameuse rencontre, lui est souvenir d'un cadeau, une marque, un sceau, que lui aurait offert l'honorable. Mais ce qui lui est certain, c'est que pour rien au monde, oh ça non, elle ne trahirait Orochimaru, son nouveau maitre.

Description Physique/Mentale :
Tayuya est une jeune fille élancée et agile. Ses cheveux roses et longs encadrent son visage fin. Sur son front repose un bandage blanc ainsi qu'une sorte de casque gris. Une mèche de cheveux retombe sur le devant de son visage. 1m50 pour 40 Kg, Tayuya est une jeune fille très équilibrée. Elle a de grands yeux noirs et sombres. Généralement, la jeune fille est vétue d'un short noir moulant recouvert d'une tunique rose pale sur un tee shirt noir. Son dos est lui orné d'un immence noeud papillon mauve rappelant étrangement celui d'Oroshimaru, son Maitre. Elle porte également des semis manches noires et des chaussures noires sur des chaussettes grises clair. La forme de ses vêtements laisse entrevoir le contour parfaitement dessiné de ses muscles fins. Bien qu’elle soit une fille, Tayuya a toujours affirmé que les muscles étaient la force et à passer plusieurs jours entiers à forger les siens. Ses formes sont bien moins prononcées en revanche, mais la jeune fille n’a même jamais appris le mot de « complexe ». Son agilité, sa rapidité et son silence son légendaires. Ses déplacements sont toujours calculés, jamais elle ne se fait prendre de vitesse et elle semble toujours à l’affut du moindre bruit. Tayuya est droitière mais n’as jamais eu de mal à se servir de son autre main pour se battre. Ses quatre extrémités sont de longues lames audacieuses toujours affutées et prêtes à être utilisées.

Mystérieuse. C'est le seul mot qui vienne réellement à l'esprit lorsqu'on se trouve face à Tayuya. La jeune fille possède une volonté de faire incroyablement développée et fera tout pour arriver à ses fins. Tayuya est une solitaire, elle recherche avant tout la liberté et est peu sociable. Elle est parfois même méchante, et à l'air d'adorer ça ! Ordinairement, elle est très réservée et ne dévoile jamais ses sentiments, ni même ses idées. Elle ne fera jamais rien pour faire plaisir ou pour rendre service, sauf s'il sagit de son village ou d'un être qui lui est très cher. Elle agit toujours toute seule et dans un but précis, servir Oroshimaru.

Test RP (obligatoire pour les personnages mort ou pour ce qui souhaite devenir kage-> Liste des personnages ) :
Partie 1 :
« Ca y est, quelle chance, j’ai treize ans aujourd’hui. »
Tayuya était assise sur un dépôt de bouts de bois qu’elle avait amassé quelques jours avant. Frissonnante, elle remonta sa couverture de feuilles et poussa un léger soupire. Elle avait faim. Trop faim. Un craquement résonna à quelques mètres d’elle, instinctivement elle se redressa, à l’affut. Après quelques secondes de suspense, un grognement sourd échappa à son ventre. Elle se courba.
Cela faisait plus de trois jours que la jeune fille n’avait rien mangé. Non sans une grimace, son regard dévia automatiquement vers le petit village qui se dressait non loin de là. Oto, le village du son. Lorsqu’elle était passée devant, il y a deux jours de cela, elle s’était déjà retenue pour ne pas pénétrer son enceinte. Son estomac grinça une nouvelle fois.
« Je ne peux pas rester ici. Je… je dois rejoindre le village. Je dois manger ». Après un léger vertige, Tayuya se releva prudemment et rassembla ses quelques affaires affalées sur le sol humide. Elles se résumaient à un bandage blanc, qu’elle fixa à son front, et d’une ceinture mauve, avec laquelle elle entoura son poignet apparemment foulé. Elle entama sa marche.
Les rayons du soleil tentaient désespérément de perforer les avides nuages. Malgré tout, une fine pluie tombait du ciel.
Tayuya sorti de la forêt lentement et s’arrêta sur le haut d’une butte. Pendant quelques instants elle observa le village qui se dressait à quelques mètres de là, puis après un court soupire repris laborieusement sa route.
Malgré la petite distance, la jeune fille mit quarante cinq minutes pour rejoindre l’entrée gardées du village d’Oto. Elle ne recula ni devant la hauteur des portes ni devant le seul garde qui se risqua à lui adresser la parole.
« Dis donc toi, oui toi la morveuse. Que veux-tu à notre village ? On ne veut pas de mendiant ici. Allez, dégage ! » Puis il avait rit. Du moins, il avait tenté de rire. Avec une dextérité incroyable, la jeune fille se retrouva dans le dos du garde, les deux mains sur sa nuque.
« Alors, qu’est ce que tu lui dis à la mendiante maintenant ? » et dans un geste sec et sans aucune hésitation, Tayuya avait tordu sauvagement le coup de son opposant. Comme d’un geste habituel, elle avait frotté ses mains et avait lancé un bref regard autour d’elle.
« Je dois me reprendre. Il faut absolument que j’arrête du tuer tout ce qui bouge », malgré tout elle ne pu retenir un évident sourire.
Cependant, ce que Tayuya ne vit pas, c’est le léger reflet que faisaient les quelques rayons du soleil présents sur les petites lunettes rondes qui l’observaient de derrière un bosquet.
Elle pénétra dans l’enceinte d’Oto.

Partie 2 :
Après quelques pas, petits certes mais assurés, Tayuya s’arrêta net devant une petite échoppe, « Armons-nous ». Le bruit de la pluie s’accordait parfaitement avec les battements de son cœur. Elle hoqueta en silence.
« Magnifique », lâcha-t-elle pour elle-même. En face d’elle, dans la vitrine, se tenait un fin présentoir en bois incrusté de pierres mauves, sur lequel reposait une flûte. A côté de celle-ci, une étiquette annonçait :
« Flûte enchantée qui permet à son porteur de contrôler les esprits ou les corps, ainsi que de créer des illusions. »
La flûte était d’un gris pâle et rayonnait comme de l’argent.
« Il me la faut, souffla-t-elle, je la veux absolument ».
C’est ainsi que commença pour elle une lutte contre le temps et le froid. Des journées entières passées dans les rues désertes d’Oto. Des journées entières, passées à faire la manche. D’abord discrètement, puis avec plus d’autorité, Tayuya récolta de l’argent. Parfois même, emportée par la folie que lui procuré le besoin de cette flûte, elle n’avait pas hésité à torturer une vielle femme qui sortait de ses courses, ou a voler un jeune enfant seul dans une ruelle noire. Elle se priva de nourriture, de couchette et de tout confort. Elle vendit même sa ceinture. Elle resta pendant de longues minutes, pendue à la vitrine de ce commerce pour observer son futur bien. Une fois même, elle avait songé à casser la vitrine et fuir avec l’arme, mais avait abandonné l’idée aussitôt. Si elle le faisait, elle ne serait jamais digne de cet objet. Les rares passants la dévisagés comme un animal sauvage, à la fois effrayés et remplis de pitié. Cette pitié, oui c’est cette pitié dans le regard des gens qui envenima chaque jour un peu plus la rage de Tayuya. Elle avait rêvé de tous les massacrer, juste pour cette pitié. Mais au final, qu’elle ne fut pas la récompense, lorsque fièrement elle sorti de l’échoppe avec la flûte. Sa flûte. Son arme.
Elle passa deux jours entiers à l’observer. Elle la tournait dans tout les sens, n’oubliant aucun infime détail qu’une personne ordinaire aurait ignoré. La première chose qu’elle y trouva fut un texte. Un minuscule texte incrusté sur le revers de sa flûte. Il y était gravé ceci :
« Vi Veri Veniversum Vivus Vici ». Elle avait couru au commerce pour questionner le vendeur.
« Par le pouvoir de la vérité, j’ai de mon vivant conquis l’univers, voilà ce qui y est inscrit ma p’tite dame », avait bougonné le marchant tout en prenant soin de rester un maximum loin de la jeune fille.
Plus fière que jamais, Tayuya était retourné dans son petit logis de fortune fabriqué à l’aide de planche de bois, et avait poursuivi sa méticuleuse observation.
Lorsqu’elle estima que la flûte n’avait plus aucun secret pour elle, l’infortunée recommença son déambulement dans les rues vides d’Oto.

Partie 3 :
Un jour, on ne peut plus banal que les autres, un jour, où à son habitude, Tayuya vagabondait dans les rues du village qu’elle avait ressemant intégré, un jeune homme s’approcha d’elle nonchalamment. Après un rapide coup d’œil intéressé et surpris, la jeune fille releva la tête. L’homme qui se tenait debout devant elle l’observait attentivement. Il devait être âgé d’une vingtaine d’année et devait mesurer quinze bons centimètres de plus que la jeune fille. Il portait des cheveux gris qui lui retombaient dans la nuque, ainsi que de petites lunettes rondes devant ses yeux noirs.
Après quelques minutes de silence gênant, il ouvrit enfin la bouche.
« Bonjour Tayuya, je me nome Kabuto Yakushi, j’aimerais discuter avec toi.
- De quoi voulez vous parler, répondit sèchement la jeune fille, on ne peut pas dire que je sois un sujet fort intéressant.
- J’en conviens. Cependant, et j’imagine que cela va t’étonner étant donné l’étendue de tes talents, je tiens à souligner que cela fait plusieurs jours que je te suis et que j’épis le moindre de tes mouvements.
- Oh, et que me vaut l’honneur de cet accueil ? Cracha l’adolescente.
- Hormis le fait que tu n’ais pas hésiter à tuer un homme d’un simple coup de main lors de ton arrivé au village… ? Rien.
- Oh…
- Et bien oui, j’ai vu cela aussi.
La jeune fille jeta un discret coup d’œil dans les alentours, puis sur son interlocuteur. Puis, ans une synchronisation parfaite, elle saisi sa flûte et se releva d’un bond, prête à fuir très loin. Malgré cela, même si elle s’y attendait, elle fut surprise de voir que le garçon était non seulement bien plus rapide qu’elle, mais aussi bien plus fort. Il la saisi par les poignets, et l’obligea à se rassoir en la poussant sévèrement sur le sol.
- Je ne te veux aucun mal, aboya-t-il.
- Sans rire !
Le jeune homme repoussa ses lunettes, ridicules selon Tayuya, sur le haut de son nez, puis relâcha sa prisonnière.
- Tiens, voila, vois par toi-même.
La jeune fille ronchonna.
- Je tiens seulement à te faire une proposition.
- Ah oui, et de quel genre est elle ?
- En réalité, c’est mon maitre qui désire t’en faire une.
- J’écoute.
- Pour le moment, il désire juste de parler en personne. Il aimerait te rencontrer d’ici à demain. Qu’en dis-tu ? Tu n’as réellement rien à perdre.
Tayuya n’hésita pas. Ce Kabuto avait raison et pour elle cela ne faisait aucun doute. Elle devait voir ce maitre.
- Fort bien, j’accepte.
- A la bonne heure ! S’exclama le jeune homme avant de tourner les talons. Je te recontacte dans quelques heures, lança-t-il avant de s’éloigner.
- Attendez, juste une chose, comment se nome votre maitre ?
Sans se retourner, Kabuto lâcha un nom. Un nom qui fit trembler Tayuya. Un nom plus noir que les ténèbres.
- Orochimaru.

[Selon ce que vous en pensez, il y aura peut etre une quatrieme partie]

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